Dan Brown – Le symbole perdu

4e de couverture :

Robert Langdon, professeur en symbologie, est convoqué d’urgence par son ami Peter Solomon, philanthrope et maçon de haut grade, pour une conférence à donner le soir même. En rejoignant la rotonde du Capitole, il fait une macabre découverte. Ce sera le premier indice d’une quête haletante, des sous-sols de la Bibliothèque du Congrès aux temples maçonniques, à la recherche du secret le mieux gardé de la franc-maçonnerie. Une aventure où s’affrontent les traditions ésotériques et la formidable intelligence de Robert Langdon.

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De cet auteur, je n’ai lu jusqu’à présent que le « Da Vinci Code » (après avoir vu le film – que j’ai beaucoup aimé), un roman pas si mal que ça, mais qui ne m’a pas laissé un grand souvenir… Pourtant, le sujet m’intéressait.

J’ai donc entamé « Le symbole perdu » sans grande conviction, mais avec un petit espoir, car j’aime tout ce qui touche aux symboles, à la franc-maçonnerie, etc.
Verdict : j’ai été séduite ! Certes, Dan Brown ce n’est pas de la grande littérature, mais qu’importe, son écriture est efficace ! Les événements s’enchaînent les uns après les autres, l’action, le suspense sont présents en permanence. Peut-être un peu tiré par les cheveux à certains moments, mais je n’ai pas été gênée outre mesure.

Les personnages, parlons-en. J’aime toujours autant Robert Langdon, quelqu’un d’intelligent et très simple, le professeur rêvé !                                     Le « méchant » est un véritable détraqué, il fait froid dans le dos. Mais chapeau à l’auteur, j’ai été surprise en découvrant sa véritable identité.

Un petit bémol cependant : cet « étalage » de connaissances, trop c’est trop… on se noie sous les informations et finalement, on n’en retient pas grand chose. Le fameux Secret aussi… un peu déçue… je m’attendais à quelque chose de plus grandiose.

Une belle lecture cependant, pleine d’action et de rebondissements. Je n’hésiterai pas à lire les autres romans de Dan Brown.

Merci à   et aux éditions J-C Lattès.

Olivier Adam – Je vais bien, ne t’en fais pas

 
4e de couverture :

Une autre lettre de Loïc. Elles sont rares. Quelques phrases griffonnées sur un papier. Il va bien. Il n’a pas pardonné. Il ne rentrera pas. Il l’aime. Rien d’autre. Rien sur son départ précipité. Deux ans déjà qu’il est parti. Peu après que Claire a obtenu son bac. A son retour de vacances, il n’était plus là. Son frère avait disparu, sans raison. Sans un mot d’explication. Claire croit du bout des lèvres à une dispute entre Loïc et son père. Demain, elle quittera
son poste de caissière au supermarché et se rendra à Portbail. C’est de là-bas que la lettre a été postée. Claire dispose d’une semaine de congé pour retrouver Loïc. Lui parler. Comprendre.

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Petit roman sympathique à lire. Une histoire sombre et émouvante. Un style simple, même si parfois j’ai été gênée par toutes ces phrases très courtes.
Une fin un peu trop facile à mon goût, aucune explication, dommage.

Chose rare, j’ai préféré l’adaptation cinématographique, sortie en 2006.

André-Marcel Adamek – Le sang du gourou

 
4e de couverture :

Dolorès, la femme d’un vigneron alcoolique, se retrouve pour la quatrième fois enceinte au cours d’une année de terrible sécheresse. Face à la disette qui s’annonce, elle prend la décision de sacrifier l’enfant qu’elle porte. Cependant, la faiseuse d’anges, les plantes secrètes et les exercices périlleux ne parviennent pas à empêcher cette naissance. Marco vient au monde affligé d’une sensibilité maladive et disposant d’étranges pouvoirs. Tandis que sa mère sombre dans la folie et que ses sœurs se prostituent, il est élevé par des moines et se lie d’amitié avec un rat qui hante le prieuré. Marco est ensuite accueilli au sein d’une secte puissante, l’Ordre de la Licorne, dont le gourou préconise une fusion charnelle, en un premier temps symbolique, entre les humains et les animaux sauvages.

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La première chose qui m’a attirée en voyant ce livre c’est sa couverture que je trouve superbe. Le deuxième, le résumé, si ça parle de secte, c’est pour moi ! Et le troisième, le nom de l’auteur… j’en suis à mon cinquième roman de cet écrivain belge, j’ai toujours aimé, donc une valeur sûre pour moi !

Et en effet, je n’ai pas été déçue, je me régale toujours autant.
Malgré une fin trop « rapide » pour moi, j’ai apprécié ce roman pour son côté un peu « surnaturel » (sans en faire de trop). Certains personnages sont attachants, mais peut-être parfois un peu trop caricaturaux. Une écriture belle et riche.

Un auteur à découvrir !